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Physician-Patient Relations --- Patient Care --- Religion --- ethnology --- Patient Care - ethnology
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La non-compliance thérapeutique est un phénomène courant, communément admis par la plupart des auteurs, elle concernerait en moyenne 50% des patients. Cette attitude de non-observance thérapeutique, qu’elle concerne le suivi de la prescription, des conseils ou des recommandations médicales, a un coût en termes de qualité de vie du patient et de dépenses en santé publique.
Le présent travail s’attache à étudier l’approche du phénomène et à proposer des attitudes constructives en matière de soins de première ligne.
Patient Compliance --- Patient Education as Topic --- Pamphlets
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Hospitals, Pediatric --- Professional-Patient Relations --- Child, Hospitalized --- Hospital-Patient Relations
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Patient Education as Topic --- Preventive Medicine --- Medicine, Preventive --- Patient education
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Relatie arts - verpleegkundige - patiënt --- Patiënt --- Patiëntenvoorlichting --- Patiëntentevredenheid --- Patiëntenbegeleiding
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L’accueil, apparemment acte bénin, est un moment riche en relation interpersonnelles entre le patient et le personnel de l’hôpital qui le reçoit. L’accueil est également source d’informations utiles et indispensables au patient arrivant à l’hôpital, et souvent en proie à un sentiment d’inquiétude lié à la crainte de l’altération de son état de santé.
Ce mémoire a pour but d’étudier la réalisation de ces actes d’accueil, la satisfaction qui y est liée, et essaiera d’élaborer des pistes d’amélioration de cet accueil
Notre travail débutera par l’approche théorique qui nous détaillera certains aspects concernant la satisfaction et l’accueil à l’hôpital.
La partie abordant la satisfaction commencera par quelques notions de qualité totale, contexte de notre recherche. Une conceptualisation de l’idée de la satisfaction nous décrira ses différentes dimensions. Une méthode de création de questionnaires spécifiques à la mesure de la satisfaction terminera cette partie.
L’accueil sera décrit selon deux dimensions principales. La première concerne le patient qui, entre l’inquiétude ressentie par le début de l’hospitalisation, ses attentes et ses besoins en information, se voit également confronté à une multitude de problèmes potentiels que le personnel, deuxième dimension étudiée, devra prendre en compte.
Ce personnel étudié est composés des hôtesses de l’accueil, des secrétaires du service des admissions, du personnel soignant et, dans une moindre mesure, par les médecins.
Ces personnes ont chacun une conception de l’accueil et une fonction à accomplir dans ce sens auprès du patient. Ce sont divers actes d’accueil que nous étudierons en détail. Certains aspects relatifs à l’architecture et à l’environnement de l’accueil seront abordés en fin de partie, que nous clôturons en développant certaines idées originales améliorant cet accueil du patient et de sa famille.
La partie pratique commencera par une présentation des lieus de la recherche : les Cliniques universitaires de Mont-Godinne. Nous y aborderons le développement de la démarche de gestion totale de la qualité, ainsi que l’organisation de l’accueil.
Les questions des trois outils de collecte différents seront axées sur les actes d’accueil effectués et sur la satisfaction. Nous y aborderont aussi la communication et la collaboration entre les différents services étudiés.
Une conclusion par questionnaire, ainsi qu’une conclusion générale contenant les principales pistes possibles d’amélioration, clôtureront ce mémoire.
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Motivations
Les comportements d’évitement de la part des soignants sont quotidiens, quand ils ne se transforment pas en comportements agressifs, probablement par peur de s’engager face à des situations émotionnellement difficiles. De plus en plus, les soignants démunis et mal à l’aide font appel aux spécialistes quand le patient est en colère, quand il pleure, et parfois même quand il exprime l’envie de se confier à quelqu’un. Pas le temps, vraiment ?
C’est donc souvent la souffrance des soignants qui fait que l’on s’interroge davantage sur la dimension du sujet, ce qui certainement n’est pas à dédaigner, mais qui devrait quand-même poser question. Car de telles circonstances particulières ne devraient pas nous autoriser à oublier que, potentiellement, tout être humain, indépendamment du fait qu’il vienne interpeller de manière insistante le monde soignant jusqu’à le mettre à mal, devrait avoir droit à être entendu dans sa subjectivité. (Lebrun, 1995)
Le danger c’est, qu’à la longue, la relation n’aie plus lieu. Nous serions loin alors d’une prise en charge holistique et loin de nos motivations premières à choisir une profession de soignant.
Toute infirmière se veut aidante, et le contraire serait une aberration. Par ailleurs, il arrive trop souvent, hélas, que dans le domaine relationnel, l’infirmière ne possède, pour toute ressource, que sa bonne volonté (Lazure, 1987)
Choisir de devenir infirmière, c’est faire le choix, pour les trente-cinq années à venir, de travailler avec des personnes en souffrance.
La rencontre avec d’autres humains dans des situations de souffrance extrême, de pertes et de deuils, va tous nous confronter à ce qui fait l’essence même de notre humanité ; de cette rencontre, nous ne sortirons jamais indemnes, mais il nous appartient de faire en sorte que ces blessures et ces doutes soient des occasions de nous développer positivement. (Saint-Etienne, 1998)
Personnellement, au bout de trois années de base pour devenir infirmière graduée hospitalière, nous avons décidé de suivre une année de spécialisation en Santé Mentale et Psychiatrie, car pour nous, l’art infirmier passait aussi par l’art d’entrer en relation avec autrui.
Aujourd’hui, si nous ne pouvons prétendre être arrivé, car il y a toujours du chemin à parcourir, nous avons au moins appris « qu’entrer en relation avec autrui, cela s’apprend ». Il existe des outils, des techniques, des attitudes, des « trucs » pour entrer en relation et pour devenir aidant. De toutes ces techniques, il y en a une qui nous paraît essentielle pour toutes les professions d’aide, y compris pour la pratique des soins infirmiers, il s’agit de la relation d’aide.
Se former est essentiel à tous les niveaux, à commencer par le niveau de formation de base, c’est pourquoi nous avons choisi dans le cadre de ce mémoire, d’aborder le thème de « la formation à la relation d’aide dans le programme d’infirmier gradué ».
En effet, à plusieurs reprises, nous avons pu observer des comportements irrespectueux, jugeant, voir agressifs envers les patients, de la part d’étudiants ou de tout jeunes diplômés. Or, si ces jeunes infirmiers sont diplômés ou ont été admis à l’année supérieure, c’est qu’un professeur a attesté de leur compétence en matière de relation, et cela malgré parfois des lacunes manifestes.
Concrètement, à travers ma question de recherche, je vais essayer de « comprendre le décalage apparent qui existe entre le niveau attendu au terme des études en matière de compétence en relation d’aide et le niveau réellement atteint par les étudiants infirmiers en fin de formation ? ».
Pourtant lors d’une courte expérience comme infirmière professeur, deux constats ont attiré notre attention : d’une part, la peur qu’éprouvent les étudiants pour la relation aux patients, mais aussi l’intérêt sincère pour cette relation et leur envie commune d’en savoir plus…
Objectifs
Pour éclairer notre question de recherche, nous allons procéder à « une analyse du dispositif de formation à la relation d’aide dans l’enseignement de base en Soins Infirmiers ».
L’objectif poursuivi est d’essayer de comprendre ce qui se passe réellement sur le terrain de la formation, à partir notamment du vécu des infirmières professeurs et étudiants. Cette analyse se veut qualitative, et même si par moment nous parlerons d’évaluer une partie du programme, une stratégie ou un dispositif pédagogique mis en place par les infirmières-professeurs (IP), nous insistons très fort sur le fait qu’il ne s’agit, en aucun cas, d’émettre un jugement sur les personnes.
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Relaties arts-patiënt --- Klinisch onderzoek --- arts-patiëntrelatie --- Relations médecin-patient --- Examen clinique --- relation médecin-patient
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Pour de nombreux professionnels de santé, la tâche d'annoncer de mauvaises nouvelles constitue la partie la plus difficile de leur travail. Les nouvelles peuvent porter sur un état où il y a risque d'une issue mortelle (cancer, sida), d'invalidité (sclérose en plaque, polyarthrite rhumatoïde) ou, tout simplement, de conséquences génantes (herpès génital). Mais, jusqu'ici, ni les études médicales ni celles menant aux autres professions de santé n'ont eu le souci de préparer leurs élèves à faire face à des situations de ce type. C'est en vue de combler cette lacune que Robert Buckman et Yvonne Kason ont écrit ce livre. Ils énoncent, dans un langage simple et intelligible, les principes de base qui doivent présider à la communication de mauvaises nouvelles, principes réunis dans une méthode, ou protocole, qui se laisse facilement assimiler. Au coeur de ce protocole se trouvent les compétences d'écoute et de dialogue. Enfin les réactions des parents et des proches du malade ainsi que de celle des membres de l'équipe médicale sont étudiées.
Physician and patient --- Catastrophic illness --- Relations médecin-patient --- Communication --- Physician-Patient Relations --- Truth Disclosure --- Relaties arts-patiënt --- Communicatie --- Relations médecin-patient
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